Monster Energy : l’essence de Kamikaze Kickflip

Chaque nuit blanche a son carburant. Pour nous, c’est Monster Energy. On carbure à ça comme un moteur tourne à l’essence, on enchaîne les canettes comme on enchaîne les morceaux, sans réfléchir, juste pour garder le feu allumé. Avant un concert, après un concert, entre deux morceaux, entre deux tricks, peu importe. Monster, c’est notre essence, notre allumette, notre overdose légale.
Et ce n’est pas juste une question de goût (même si on ne va pas se mentir, c’est addictif). C’est une question de survie. Charger le van en pleine nuit après un set infernal ? Monster. Porter des amplis plus lourds que nos bassistes à travers des ruelles sombres ? Monster. Trouver l’énergie pour rider à 5h du mat après un concert où on a tout donné ? Monster. Sans elle, on serait juste un groupe de zombies errant entre deux dates, cherchant désespérément un canapé où s’écrouler.
On pourrait ralentir, se poser, faire des morceaux propres et calibrés. Mais ce n’est pas nous. On préfère les nuits sans fin aux matins rangés, les spots de skate éclairés aux bureaux bien sagement alignés, les amplis saturés aux playlists formatées. Tant qu’il y aura des lampadaires pour éclairer nos sessions, des potes pour chanter à tue-tête et des batteries de téléphone à 1% après une nuit trop longue, Kamikaze Kickflip continuera de jouer, d’exploser les décibels et de repousser le sommeil encore et encore.
Monster Energy n’est pas juste une boisson, c’est notre alliée, notre essence vitale. Sans elle, notre musique serait plus lente, nos concerts plus sages, nos trajets plus silencieux. Et ça, c’est tout simplement inacceptable.